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CONTEXTE

L'environnement économique actuel des plus incertain favorise l'émergence des RPS dans de plus en plus d'entreprises, alors que tout employeur est soumis à une obligation de résultat en matière de sécurité.

L'article L4121-2 du Code du Travail précise que l'employeur doit combattre les risques à la source.

Par décret n°2016-756 du 07 Juin 2016, des mesures permettent aujourd'hui de renforcer l'expertise médicale pour la reconnaissance des pathologies psychiques telles que l'épuisement professionnel comme maladies professionnelles.

L'ANI du 19 Juin 2013 suivie par l'arrêté d'extension du 15 avril 2014 puis la loi Rebsamen du 17 Août 2015 mettent l'accent sur la qualité de vie au travail.

Le 3e Plan Santé au Travail du Gouvernement pour la période 2016-2020, dans le sillage de l'ANI 2013, définit 3 axes stratégiques : la prévention primaire, la qualité de vie au travail et le dialogue social.

Aujourd'hui, il apparaît clairement que le cadre de travail doit s'adapter aux évolutions de la société.

En ce sens, la prise en compte de la Qualité de Vie au Travail au sein de l'entreprise peut apparaître, au delà de la contrainte règlementaire, comme une opportunité par son passage d'une vision subie à des actions positives de prévention, mobilisatrices et pérennes.

PARLONS CHIFFRES

Absentéisme, turnover, arrêt maladie, accident du travail,  voici certaines des conséquences coûteuses de la non-gestion de la prévention des risques psychosociaux de manière optimale.

Ces dernières années ont vu une progression de 50% des troubles RPS.

L'épuisement professionnel toucherait 5 à 10% des salariés.

L'Assurance Maladie révèle le 16/01/2018 que le nombre d'affections psychiques reconnues comme accident du travail ou maladie professionnelle, autour de 10 000 cas par an, est en constante augmentation.

D'après l'INRS, 50 à 60% des journées de travail perdues seraient du fait du stress au travail.

Selon l'ANACT, le coût de l'absentéisme annuel serait de 3500 € par salarié suivant son profil, soit environ 3X le taux horaire du salarié concerné.

D'après l'INRS, le coût du présentéisme serait 4X plus élevé que celui de l'absentéisme.

D'après une étude menée par Harvard/MIT (2018), les salariés heureux sont 2X moins malades, 6X moins absents, 9X plus loyaux, 31% plus productifs et 55% plus créatifs.

L'étude Qualité de Vie au Travail 2017 de Malakoff Médéric réalisée sur un panel de 500 dirigeants et 3500 salariés du privé, fait ressortir que pour :

  • 90%, la Santé et la Qualité de Vie au Travail contribuent à la performance de l'entreprise,

  • 75% des dirigeants, la Qualité de Vie au Travail sera dans l'avenir un thème de préoccupation majeur pour les entreprises que ce soit dans l'optique d'augmenter la compétitivité, d'améliorer le climat social ou bien encore de maîtriser l'absentéisme.

Selon l'Agence Européenne pour la Sécurité et la Santé au Travail, 1 € investi permettrait un retour sur investissement de 2.5 à 4.8 € du fait de la réduction de l'absentéisme et de l'amélioration de la productivité.

Alors, n'hésitez plus et investissez dans la Qualité de Vie au Travail, guidés par Substance RH !

 

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